En relation avec l'article de L. Bélugou «Quelques opinions sur l'œuvre de H. Taine», La Revue blanche, tome XIII, n^o 101, 15 août 1897, pp. 263-295.

Le philosophe et historien français Hippolyte Adolphe Taine (1828-1893) est ici l’objet d’un recueil d’avis réunis par l’auteur L. Bélugou auprès d’intellectuels et de scientifiques triés sur le volet : Maurice Barrès, André Lefèvre, Pierre Janet, Henri Mazel, Gabriel Tarde ou encore Émile Tarde partagent ainsi leur appréciations de Taine et de sa pensée, ceci dans l’esprit d’un « referendum » dans l’intérêt de « dresser le bilan de son influence actuelle […] et de retrouver […] sa part contributive dans l’organisation d’esprit des psychologues et sociologues, des historiens, critiques, esthéticiens, des artistes et des philosophes » (p. 264). C’est donc tout naturellement que l’effigie de Taine figure dans l’en-tête à ce florilège de trente pages, dans un profil dessiné par Vallotton qui s’est inspiré, du portrait de Taine peint par Jean Béraud (1849-1935), notamment reproduit en couverture de la Revue illustrée le 15 mars 1893.

«Illustrations / Félix Vallotton: H. Taine», dans la table de juillet, août, septembre 1897

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Cette illustration a fait l'objet d'un tiré à part.

Laurent Fierens, «Comment il se fît que Taine mourût religieux», Le Spectateur catholique, n^o 8, août 1897, p. 96bis.