En relation avec Thadée Natanson, «Travaux de voirie», pp. 33–40.

Le texte de Thadée Natanson (1868-1951) fait référence au dessin de Vallotton dans le passage suivant : « Tous les jours dans Paris s’ouvrent des tranchées. / La voirie y a fort à faire. / […] / D’autres fois les trous, les gouffres qui se creusent font songer à des bouches géantes qui s’ouvriraient. […] / Mais qu’en public une rue se retrousse, s’habille ou se déshabille, crache, ou donne le spectacle des suites d’une indigestion ou de quelque maladie plus mystérieuse, les passants accourent. Il semble bien qu’ils obéissent à un précepte de cette civilité urbaine et morale qui commande de se découvrir au passage des enterrements, de courir aux incendies, d’étouffer les asphyxiés et les épileptiques, de faire cercle autour des chiens crevés et de respecter les autorités. / On n’a pas plutôt planté les pieux qu’ils suspendent à la corde, insuffisante, un vivant paravent. » (pp. 35-36).

Monogrammé en bas à droite

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