En relation avec Alfred Athys, «La Musique militaire», pp. 87–92.

Le texte d’Alfred Athys (1873-1932) fait référence au dessin de Vallotton dans les passages suivants : « Des bandes avant-coureuses emplissent les trottoirs, débordent sur la chaussée : ces gens toujours les mêmes eux aussi, qui vont droit devant eux, fatalement, on ne sait où ni pourquoi, inconscients et affairés, tellement agités et bruyants que le régiment qui s’avance au milieu d’eux paraît un bloc inerte, une masse immobile. […] La rue est pleine, bondée, ‹ on refuse du monde ›. La curiosité des boutiques dégorge sur le trottoir. Le commerce chôme. La blanchisserie est déserte, et sur le visage illuminé des repasseuses éclôt l’incandescent reflet des pantalons rouges. L’épicier du coin offre au client l’hospitalité de sa vitrine, tandis que la devanture du coiffeur s’enrichit de deux mannequins vivants. » (pp. 90, 92).

Monogrammé en bas à droite

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Morel, 2001, pp. 191, 200

Morel, 2002, p. 61