En relation avec Gustave Kahn, «Le Mariage», pp. 125–133.

Le texte de Gustave Kahn (1859-1936) fait référence au dessin de Vallotton dans le passage suivant : « lls attendent devant le parvis tous les amis inconnus du bonheur ! La voici, la grasse, la forte cuisinière au tablier presque blanc, festonné comme un clocheton au long de ses fortes jambes, la petite demoiselle de magasin, blondie à l’eau oxygénée, ah ! peut-être, peut-être ! ! ! Le petit trottin les cheveux lâches… Bah ! on s’en passe, et le commis, et l’homme médaillé qui le long du jour se penche sur des bottes ou porte les billets doux et discrets en carillonnant aveugle à toutes les portes et le mitron à la manne défleurie, et l’ancien sergent de ville à barbe fleurie, tous qui sont la gaieté du pavé, s’arrêtent tandis que le zingueur et le courtier s’éloignent, l’un pincé, l’autre gaillard, sa veste en dolman sur sa boîte à outils portée comme une guitare. » (p. 130).

Monogrammé en bas à droite

Voir fiches liées

Voir fiches liées