En relation avec Thadée Natanson, «À la porte des casernes», pp. 191–197.

Le texte de Thadée Natanson (1868-1951) fait référence au dessin de Vallotton dans le pasage suivant : « La foule n’est pas moins curieuse de la boîte, où, après leurs exercices, on range les petits soldats. / Les badauds harassés qui les ramènent du champ de manœuvre et les accompagnent jusqu’à la caserne où leurs rangs s’engouffrent, ne peuvent se rassasier d’un plaisir favori. Ils demeurent hébétés, sans vouloir admettre que c’est fini. Ils voudraient tant jouer encore, jouer toujours. On leur a pris leurs soldats. Ils attendent qu’on les leur rende. Et il faut à la porte mettre une sentinelle pour empêcher qu’ils y touchent. / Si quelques-uns à la fin se lassent de ne voir que le factionnaire aller et venir, jamais il ne manque de spectateurs. Les places abandonnées bientôt sont occupées par de nouveaux venus. Cent menus accidents les consolent ou les amusent. » (p. 194).

Monogrammé en bas à droite

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