No catalogue 046020
Crédit photographique : © Fondation Félix Vallotton / SIK-ISEA (photographie : Philipp Hitz)
Droits : Réservés
Sans titre [Achtes Kapitel I]
Sans titre [Achtes Kapitel I]
En relation avec le texte du huitième chapitre, pp. 41-48.
Ewald Brock est surpris par la nature de ses sentiments. Il doit reconnaître que la relation qu’il entretient avec Mathilde Holunder est différente. Lui viennent ensuite des pensées au sujet de ses relations amoureuses antérieures, que l’on peut traduire comme suit : « Mon Dieu, ses autres ‹ liaisons › ! Des interludes comme au cirque, lorsqu’il est annoncé que les entractes vont être animés par des clowns. Toutes ces jeunes filles avec qui il a eu à faire – certes, des objets plaisants, sorte de patères auxquelles accrocher ses sentiments pour s’en défaire un moment. Toutefois, quand ces objets partaient de chez lui en emportant les sentiments, il ne broyait pas du noir pour autant. » (« Gott, seine ‹Verhältnisse› sonst! Intermezzi wie im Cirkus, wenn es heisst: Die Pausen werden von den Clowns ausgefüllt. Alle die kleinen Mädchen, mit denen er es zu thun [sic] gehalten hatte, waren ihm ja gewiss angenehme Objekte gewesen, eine Art von Kleiderständern, an denen er seine Gefühle aufhing, um sie auf eine Weile los zu werden. Aber wenn ihm die Objekte mitsamt den Gefühlen durchbrannten, so ward er keineswegs in Trübsal getaucht. »).
L’illustration reprend le motif de la patère mentionnée.
Non monogrammé
Non cité
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