En relation avec le texte du treizième chapitre, pp. 86-96.

À la fin de ce chapitre, les deux protagonistes, Mathilde Holunder et Ewald Brock, sont en froid. Ewald a osé distinguer leur relation de celle des parents de Mathilde, qui eux sont mariés. Mathilde se fâche et le traite de rustre.

Le cul-de-lampe en fin de chapitre nous montre un nuage noir au visage mécontent, ce qui illustre l’état d’esprit de la protagoniste.

La vignette placée en début de chapitre est une reprise de la page trois de la préface (voir fig. A). Cette fois-ci, la fleur est toutefois représentée à l’envers, la tête penchée vers le bas. Le dessin introduit le paragraphe dans lequel Mathilde décrit son enfance, entre un père pasteur protestant et une mère française aimant chanter et rire aux éclats. Mathilde se sentait emprisonnée dans le foyer familial, surtout de par son père. Après le décès de sa mère, elle décide donc de quitter cette demeure hostile à la vie pour ne pas se faner elle aussi, telle une plante privée de lumière.

Non monogrammé

Non cité

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