En relation avec le texte dix-huitième chapitre, pp. 138-141.

Suite à ses fiançailles avec Ewald Brock, Mathilde Holunder part vivre chez ses futurs beaux-parents à Halle-sur-Saale, conformément aux us et coutumes de l’époque. Elle y est cordialement accueillie et réjouit tout le monde par son attitude et son charme. Au fond d’elle, elle ne se sent toutefois pas à l’aise dans ce milieu et désire rejoindre au plus vite son amant.

En tête de ce chapitre nous est donné à voir un petit angelot nu, roulant à vélo. Est-ce une représentation humoristique de Mathilde Holunder sous forme de putto ailé, bien-aimée du protagoniste principal qui, pour des raisons morales, est contrainte de quitter le domicile commun ? Ou est-ce que ce Cupidon renvoie tout simplement au fait que l’amour les encourage fortement à terminer leurs études et à se comporter de manière raisonnable auprès de la future belle-famille ?

Le dessin du putto à bicyclette figure également sur la quatrième de couverture de l’édition brochée (fig. A). La quatrième de couverture de l’édition reliée de 1896 n’est quant à elle pas illustrée.

Non monogrammé

Non cité

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