En relation avec le texte éponyme, pp. 81–86.

Le texte de Remy de Gourmont est paru dans la Revue des revues le 1^er mars 1896, accompagné d’un autre masque d’Adolphe Retté (1863-1930) par Vallotton. Le remplacement du masque s’explique probablement par le souci de la ressemblance. En effet, dans une lettre rédigée entre le 15 septembre et le 20 octobre 1896, Remy de Gourmont adresse à Félix Vallotton son texte consacré à Adolphe Retté, accompagné d’un croquis représentant l’auteur avec ces mots : « Ci-joint Retté et un croquis assez ressemblant, – mail l’œil est SOURIANT, ironique ou gouailleur, quoique bon enfant – et non pas fixe. » (Documents, vol. I, lettre 86, p. 149). Le croquis – source iconographique de ce masque – a pu être identifé : il s’agit d’un portrait d’Adolphe Retté, réalisé en août 1894 par son ami Léo Gausson, pour le frontispice du livre d’Adolphe Retté, L’Archipel en fleurs (Paris : Bibliothèque artistique et littéraire, 1895). Le même dessin est également reproduit dans le supplément à La Plume du 1^er février 1895.

Monogrammé en bas à droite

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Vance Thompson, French portraits. Being appreciations of the writers of young France, Boston, Richard G. Badger & Co., 1900, p. 105