En relation avec «La Duchesse Poison», pp. 114–120.

Le texte « La Duchesse Poison » comporte deux illustrations, dont voici la première.

Le passage en relation avec le dessin de Vallotton est le suivant : « Neuf heures du matin. Le ménage Balbus est encore couché, Auguste Balbus n’étant pas allé au bureau ce matin-là. La jeune madame Balbus attend avec impatience le retour de la bonne qui, en revenant du marché, doit monter le Cri national. / Balbus. – C’est si intéressant, ce feuilleton ? / Mme Balbus. – Oh ! mon chéri, tu n’as pas idée ! Je n’ai jamais vu un aussi beau feuilleton. Je ne comprends pas que tu ne le lises pas. […] Balbus. – De quoi s’agit-il ? / Mme Balbus. – Écoute : Il y a d’abord Claude Fatal, qui est un médecin de village, et qui a recueilli une enfant, une petite fille, qu’il a trouvée dans la neige. » (pp. 115-116).

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