En relation avec le texte éponyme, pp. 15–17.

Par peur de demander la permission de se lever, Poil de Carotte fait souvent pipi au lit. Le lendemain matin, Madame Lepic se tait, nettoie et lui sert dans sa chambre une soupe qu’elle lui fait avaler à petites cuillérées sous le regard de ses aînés. À la dernière cuillerée, elle lui enfonce la cuillère dans la gorge et lui dit qu’il vient de manger ses propres excréments. Ne trouvant pas cela drôle à force d’habitude, Poil de Carotte reste stoïque.

Le dessin de Vallotton montre l’instant où « À son chevet, grand frère Félix et sœur Ernestine observent Poil de Carotte d’un air sournois prêts à éclater de rire au premier signal. » (p. 16).

Le titre fait partie intégrante de l'illustration

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Guichard, 1936, p. 82

Dessy, 2015/1, p. 122