No catalogue 090038
Crédit photographique : © Fondation Félix Vallotton / SIK-ISEA (photographie : Philipp Hitz)
Droits : Réservés
En relation avec le texte éponyme, pp. 211–217.
Ce récit fait suite au précédent, « Mathilde ». Poil de Carotte déclare à Mathilde qu’il espère se marier avec elle plus tard, même s’il n’est pas riche. Mathilde ne dit pas non et l’interroge sur sa fortune. Poil de Carotte lui révèle que son père dépose chaque mois de l’argent dans un coffre-fort dont ils sont les seuls à connaître le code. Curieuse, Mathilde veut connaître le code. Poil de Carotte promet de le lui divulguer si elle se laisse toucher où il voudrait. Tout en s’échappant, Mathilde s’amuse à crier le code à tue-tête. Un domestique du château, qui a tout entendu, surgit de sa cachette et prévient Poil de Carotte qu’il rapportera tout à Madame Lepic, sur le mariage, mais pas sur le coffre-fort.
Le dessin de Vallotton illustre le passage suivant : « Puis, comme Poil de Carotte, sans répondre, s’avance, décidé, la main tendue, elle se sauve. [...] Par la lucarne d’une écurie, un domestique du château sort la tête et montre ses dents. » (p. 216). Au contraire du récit, Poil de Carotte touche Mathilde dans le dessin.
Le titre fait partie intégrante de l'illustration
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