En relation avec le texte éponyme, pp. 229–233.

Poil de Carotte accompagne son père à la chasse et s’impatiente quand il doit rester à l’attendre. Il réussit presque toujours à deviner si la chasse sera fructueuse ou non. Monsieur Lepic revient avec un lièvre encore chaud dans les mains. Poil de Carotte rit, prétendant que c’est grâce à lui. Son père s’en offusque et lui enjoint de ne pas raconter pareilles absurdités devant d’autres personnes. Il lui reproche de se moquer de lui, ce que Poil de Carotte nie catégoriquement.

Le dessin de Vallotton illustre les passages suivants : « M. Lepic emmène ses fils à la chasse alternativement. Ils marchent derrière lui, un peu sur sa droite, à cause de la direction du fusil, et portent le carnier. » (p. 229). « Il [Poil de Carotte] lui arrive de porter une journée entière deux lièvres et cinq perdrix. [...] / – Attends-moi ici, dit parfois M. Lepic. Je vais battre ce labouré. / Poil de Carotte, irrité, s’arrête debout au soleil. Il regarde son père piétiner le champ [...]. » (p. 230).

Le titre fait partie intégrante de l'illustration

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Guichard, 1936, pp. 77–78