En relation avec le texte de Stendhal, «Inédits de Stendhal. Burrhus», La Revue blanche, tome XIV, n^o 105, 15 octobre 1897, pp. 121-126.

En 1897, Vallotton livre trois masques de Stendhal, pseudonyme d’Henri Beyle (1783-1842), à La Revue blanche. Le troisième d’entre eux (voir les deux autres Stendhal et Stendhal) est placé en cul-de-lampe à la fin de « Burrhus », texte inédit de l’écrivain.

La source iconographique de ce masque est le portrait de Stendhal peint en 1839 par Pierre-Joseph Dedreux-Dorcy (1789-1874) et conservé au Musée de Grenoble. Vallotton a certainement pris pour modèle sa reproduction dans l’ouvrage d’Henri Cordier publié en 1890 et intitulé Stendhal et ses amis. Notes d’un curieux.

Les trois masques de Stendhal reproduits en 1897 dans La Revue blanche sont repris pour l’illustration de la préface de Jean de Mitty à Napoléon, publication posthume de Stendhal parue aux Éditions de La Revue blanche à l’automne 1897.

«Illustrations / Félix Vallotton: Stendhal (deux portraits)», dans la table du tome XIV

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