En relation avec Félix Fénéon, «L'Incendie», pp. 159–164.

Le texte de Félix Fénéon (1861-1944) fait référence au dessin de Vallotton dans le passage suivant : « Pourtant on a vu des incendies. Des échelles se sont appliquées, en lignes d’esquisse, aux murailles ; des pompes à court de souffle se sont abouchées à des prises d’eau taries, en ont même extrait quelque jet qui du moins, s’il n’éteint pas, attise ; un pan de mur s’est effondré comme effacé à la mie de pain ; des fêtes de charité s’organisèrent. Il y a des silences, des bruits vagues, des explosions de bonbonnes. On reçoit des bourrades municipales. Des pompiers se promènent sur des crêtes de murs. Il tombe des matelas sur le trottoir. Quelque part des actes mémorables doivent s’accomplir. / Le froid sévit. ‹ Cet incendie, c’est un coup du propriétaire des immeubles qui veut faire marcher les compagnies d’assurances. › D’autre part, il est certain que c’est un ouvrier renvoyé qui a mis le feu : il s’est fait justice lui-même, on vient de retrouver dans un sous-sol de la maison sinistrée son corps percé de quatorze coups de couteau. » (pp. 162-163).

Monogrammé en bas à droite

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