En relation avec le texte éponyme, pp. 87–92.

Ce récit fait suite au précédent, « Honorine ».

Honorine a toujours une marmite d’eau sur le feu. Quand l’eau s’est évaporée, elle en verse de la nouvelle. C’est devenu une telle habitude qu’elle peut le faire les yeux fermés. Mais ce jour-là quelqu’un a retiré la marmite à son insu. Alors toute l’eau tombe d’un seul coup dans la cheminée, créant un brûlant nuage de cendres. Madame Lepic saisit l’occasion pour rappeler à Honorine ses paroles de la veille, à savoir qu’elle partirait quand elle ne serait plus capable de verser l’eau dans la marmite. Honorine en tire les conséquences et fond en larmes.

Le dessin de Vallotton, où Poil de Carotte n’apparaît pas, illustre le passage suivant : « Toute l’eau tombe dans le feu et un nuage de cendre, comme une bête dérangée qui se fâche, saute sur Honorine, l’enveloppe, l’étouffe et la brûle. » (p. 89).

Le titre fait partie intégrante de l'illustration

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